More (1969)

more

MORE; Mimsy Farmer

More  is a 1969 film which was the feature film directorial debut of Barbet Schroeder. It became a hit in Europe, and has now achieved the status of a “cult classic” in the U.S and elsewhere, evoking a certain time and place.

Starring Mimsy Farmer and Klaus Grünberg, it’s principally set on the sun-drenched Spanish island of Ibiza. The story involves a young German university student, Stefan, who hitchhikes to Paris for a break from studies and some freedom. He says he wants to be warm for a change, to have a chance to see the Sun. While at a party in Paris, Stefan meets a free-spirited American girl named Estelle. He is instantly drawn to Estelle, one could say like a moth to a flame. Stefan pursues her, even eventually following her from Paris to Ibiza. In Ibiza they slowly begin a relationship. Estelle introduces Stefan to many pleasures and freedoms, including introducing him to drugs. Ultimately Stefan will even try heroin, to which he eventually becomes addicted. The results are quite tragic.

Schroeder has said that the story of More was modeled on the myth of Icarus and Daedalus, “with Estelle representing the Sun”. The film was shot on location by the legendary cinematographer Nestor Almendros, who was to become a long-time collaborator with Schroeder. More debuted in Cannes at the 22nd Cannes Film Festival, in May of 1969, and the U.S. premiere was in New York in August, 1969. The film’s musical score was unique for the time, as it was written and performed by the group, Pink Floyd. The film’s score is now one of the reasons of its cult status. Pink Floyd would later release the music as an album, Soundtrack from the film More

Pink Floyd’s Soundtrack: More is one of the first feature films that used a contemporary rock group to create a soundtrack for a motion picture. In early 1969, Barbet Schroeder invited Pink Floyd to compose a full-length musical soundtrack for a movie. They had done a few smaller music scoring projects starting in 1967 (‘Interstellar Overdrive‘ for the movie ‘San Francisco’ as well as a soundtrack for ‘The Committee’, in 1968, which included an early version of ‘Careful with That Axe, Eugene’) Because thier label, EMI viewed the album as a special project, More allowed the band freer artistic rein. It was Pink Floyd’s first major opportunity to demonstrate that they could produce their own recordings themselves, without the constraints imposed by Norman Smith at Abbey Road. The soundtrack from More became Pink Floyd’s first of two projects working with director Barbet Schroeder. Another soundtrack project followed a few years later, ‘Obscured by Clouds (The Valley)’.

MORE (1969) Poster

 

MORE, original French trailer {Youtube}

MORE (DVD/Multiformat)

MORE Original Pressbook, English (RARE!) (PDF, 1.6MB Click to download/view)

 

One thought on “More (1969)

  1. vivien

    Film à la fois fascinant et dur à voir, évoque une fable de La Fontaine : éclat de l’été sur roches en Méditerranée irradiant un temps très limité ; inesthétisme de quartiers louches, d’individus avisés moches en contraste aux 2 acteurs en affiche eux intérieurement atteints, avertissement sur la nature de ‘la’ fille avant les preuves, austérité en hiver d’une île faussement ‘paradisiaque’ (déjà suivisme du tourisme de masse similaire au suivisme de tout phénomène de société), annoncent l’inéluctable fin tragique.
    Addition documentaire d’époque sur une mode éphémère (subtilité des détails sur catégories et intermédiaires, dont faux ‘hippies’, d’ailleurs cas Mick J du show biz ou affairiste Richard Branson, nombre d’ ‘entiers’ ayant disparu jeunes ; profil ancien SS nuancé) et description clinique de la déchéance de Stefan, qui semble avoir tout pour lui, tombant dans le vide ici symbolysé par une chimère à l’âme sans intérêt, il n’est jusqu’aux attributs intimes du héros qui ne soient parfaits, ou sa formation universitaire en mathématiques, la science pure.
    Est-ce une facilité documentaire (sexe, drogues) qu’ici la fin du héros soit provoquée par une fille (influence des fréquentations), ou y a t-il intentionnelle référence au sexisme (fille ‘chargée’ de plusieurs morts) en réflexion oxymore, charge sur une soi disant ‘libération’ sexuelle qui aurait surtout profité aux hommes (fille faussement ‘libre’), ère se terminant en pornographie aux pratiques les plus dégradantes (rares créations esthétisantes, femmes usuellement réduites en objets, or, hommes, toujours oublié, esclaves de leurs pulsions) ?
    Stefan du nord, tel Icare, s’aventure dangereusement, oublie l’existence de l’hiver (ou pluie sous climats tropicaux), rêve d’un idéal en ‘lucid dreaming’ (d’où des ‘clashs’ lors de révélations sur la nature absolument vide et inconsistante de cette fille), auquel il a tout sacrifié afin de l’atteindre.
    Irrationalité d’une fuite/recherche effrénée d’idéaux, à effacer ou ne voir le non lisse de la réalité, à tenter de la déteindre, non conforme à sa formation mathémathique.
    La société indienne est l’enfer sur Terre : droits des femmes, ‘dalit’.
    Le film enlève toute illusion sur une ‘libération’ payée au prix d’une accélération de l’aliénation, cas non systématique de lien entre drogues dites douces/dures, la plus dangeureuse étant l’illusion.
    ‘évolution’ du ‘surf circus’, le surf restant toujours au sommet esthétique, à la dérive-symbole, ‘in reality there is no endless summer’, ‘endless summer’ film surf mythique, mode actuelle est au surf tracté xl, notamment en eaux froides : du nord de l’île de Kauai, ‘paradis’ hippie de l’archipel Hawaii le plus isolé au monde, un surfeur très charismatique et talenteueux, au nom de Irons, est récemment décédé d’une overdose ; ‘surfwear business’ ‘made in China’, localisme, nombreux ‘surfeurs’, dont des anciens, souhaitent éradiquer les requins, course à la vague la plus xl (un surfeur de ces années là l’a déjà dit).
    Créditée de cette époque, l’évolution des ‘libertés’ date d’avant, la société de consomation et la libération des femmes existaient à Paris lors de l’invention des grands magasins (qui leur fournissait un emploi et une autonomie).
    rock tout aussi simpliste que les musiques électro tant décriées attirant une ‘faune’ envahissant Ibiza, il y a une continuité dans la facilité à décrier ce qui suit

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